BERGERE PAS DE TENTATION (SUITE)
(par Jean-Marie Villette)
Chapitre 2
CE DAEMON DE GARDIEN
A Maître Nicolas Poussin et le mètre mesure
Début du
décryptage numérique du texte : « Bergère … à midi pommes bleues » de Philippe de De Chérisey qui n'était pas que le doux
poète fantaisiste et décadent qu'on dit !!!
Comment
Poussin et Téniers, les deux petits poucets aux bons chiffres, nous mènent pas à pas au secret !
‘‘L’œil’’ des maîtres !
«Tout
commence par Phi », aimait à nous ressasser le regretté photographe
Cartier Bresson sur ses vieux jours, et « Tout commence et se termine
par Phi », prétendit dès son jeune âge, l’architecte Le
Corbusier !
Puisqu'il
est question d’œil, de l’œil sollicité par la géométrie d'Or, la
géométrie créée par le nombre exceptionnel Phi, par ses multiples
ou par ses dividendes, soit encore dite géométrie sacrée par certains
(N'est-ce pas la ''part des dieux puis de Dieu'' ? ... me commente
joliment Flo,), je pense qu'un Nicolas Poussin, plus fréquemment
qu'un David Téniers le jeune, cultiva ces deux poncifs arithmétiques
: Pi et Phi.
Photo SAM_9739 ouverture du ''Temple'' de la géométrie dite sacrée sur la Rose
Ligne
Mieux, Poussin
avait ce don incomparable de savoir les combiner en les imbriquant l'un
dans l'autre, ce qui complique les analyses, mais pour notre plus grand
plaisir car des liens forts et évidents existent entre les deux nombres …
Mais
ceci n’avait cependant rien de très d'original pour des artistes post
Renaissance qui furent tous éduqués dès leur adolescence avec ces
particularités arithmétiques et géométriques, et plus particulièrement Nicolas
Poussin qui compta très jeune quelque longueurs d'avance sur ses
nombreux (futurs) collègues (et rivaux) grâce à un professeur exceptionnel, en
la personne de monsieur Courtois le mathématicien du roi Louis XIII,
excusez du peu.
Ni l''à
peu près'', ni le ''pif'', n'avaient cours chez nos
codeurs géomètres. Point d'impostures ! Point d'amateurisme ni de débordements ! On est sur
des rails. Suffit de contempler les Bergers d'Arcadie du Poussin, pour
ressentir le poids d'un carcan bien clean mais un petit peu trop lourd
figeant et statufiant l'ensemble ! Confidence pour confidence, ce n'est
pas pour son esthétisme ni pour son lyrisme poétique que j'ai fini par tomber
amoureux de ce tableau des Bergers, fascinant, mais sans que l'on
comprenne pourquoi … où est donc la clef ? Et j'ai voulu, naturellement
savoir pourquoi je demeurais stupéfait par ce tableau !
« D'accord, mais tu causes là, comme
si tu t'adressais à quelqu'un qui saurait où il va en lisant ce tableau !
La bonne blague, la plupart ne le savent pas, et c'est bien normal, ce qui complique tout, aurait dit
l'arrière-petit-fils de Monsieur de la Palisse ! » (Réflexion
judicieuse de Flo!)
Plus
discrets et poétiques sont les rares cryptages imagés ou numérisés par Téniers
David le Jeune (plus bordélique en ses compositions ! … nous passons d'un
extrême, l'autre !) ; et quand on sort tel que moi du Poussin le
complexe, c'est ''du gâteau'', un petit plaisir, une fraîche
récréation ! Point de très grosses difficultés, suffit d'ouvrir
l’œil et d'avoir repéré quelques automatismes du peintre David Téniers le Jeune
! Mais je n'ai pas tout bien vu (impossible) et je suis loin de pouvoir tout
comprendre de ses intentions ou de ses manquements ! … évidement !
Le plus fort étant que David Téniers dit le Jeune ne
s´est jamais vraiment intéressé à la pratique systématique du nombre d'or … sauf ?
... sauf en deux ou trois cas très particuliers où manifestement il a fait très
fort et aura égalé Poussin … les deux tableaux analysés en ce début d'étude font
partie du ''trio doré'' !
Bref, tout cela pour dire qu'il était hors de question de pratiquer
la peinture du temps de Poussin et Téniers sans connaître les solides bases de
l'arithmétique. Alors si l'on veut les décoder ? … Voyez ce que je veux
dire ?
L'arithmétique
fut un des outils de la base pensante et créative de toute une génération de
peintres classiques et post classiques … je n'y peux rien, c'est ainsi et cela
n'est point par fantaisie ni hasard.
La
valeur de Pi (3, 14159 ou en arrondissant 3, 1416) est théoriquement connue (du moins approximativement, c'est
incontestable) depuis la haute antiquité et les géomètres anciens qui n’étaient
pas moins intelligents que nos matheux contemporains, auront sans doute saisi
cette petite théorie que je vais énoncer, et qui n'est pas une démonstration,
mais plutôt que la modeste proposition d'un axiome, c'est à dire d'une évidence en toute son ordinaire nudité,
mais cependant démontrable.
Voilà
donc l’axiome :
(Retournons le problème telle une chaussette, comme parfois
procédèrent les premiers vrais ''faux décodeurs'' des mystères de R.L.C.
… ?)
« Un cercle de diamètre 1 possède un périmètre égal au
produit de 1 par 3, 14159 =
Pi
Donc 1 = Pi et Pi = 1 » (évident et pas besoin de dessin !)
Les anciens
possédaient une providentielle unité de mesure (?) (Providentielle ?
... Ah oui, providentielle pour nous les modernes, car elle contient grâce
à sa géométrie originelle, un lien utile avec le système métrique !).
Cette providentielle
mesure est nommée la Coudée Royale (d'origine incertaine) …dont la parité avec mètre mesure,
par bonheur, nous est familière car elle fut plutôt bien transmise par les
générations successives (Coudée royale =~ 0, 5236 m !!! = Pi mètre /
6 !!! … un superbe cadeau !) … et qu’elle était gravée
avec ses subdivisions calculables par Phi, le nombre d'Or (mis à part le
pouce!), sur la Quine valant 555
grains d'orge (lignes), c'est à dire le bâton des
maîtres compagnons, ceux qui ont construit la plus part des cathédrales d’Europe et
plus tard de magnifiques monuments civils.
Et ils
résolvaient leurs problèmes sans calculette, les architectes et les compagnons,
avec un simple boulier, leurs compas pointes sèches et leurs matières
grises, ou en griffonnant sur le sable … plus personne (ou presque !) n'en
ai capable aujourd'hui ! Savoir perdu ? … mais certainement pas pour
tout le monde ?
Hypothèse : Il est plus que probable, que nos géomètres antiques
eurent la naturelle et ludique tentation de créer un tel cercle expérimental que voici décrit :
Soit une
coudée royale valant 0, 5236 m (mais ils ne le savaient pas !??? ...précise et proteste Flo …
voir ?)
Bien, tu as raison, imaginons alors un
cercle sectionné en 6 arcs d'égales valeurs, chacun ayant été étalonné sur la
coudée royale ! Ha, ha !
Soit (nous le savons aujourd'hui), 6 x 0, 5236 mètre = 3, 14159 m
Donc le
périmètre (ou circonférence) du cercle sera toujours égal à Pi mètre,
soit 3,14159 mètres !
Et enfin
3, 14159 mètres / Pi = 1 mètre
Vous
suivez ? Toujours l'évidence !
Mais Flo
insiste : « Ils ne le savaient pas ?! »
Oui,
Flo, peut-être qu'ils ne le savaient pas, mais crois-moi, ils n'ont pas tardé à
le savoir, c'est du moins l'avis d'excellents professeurs chercheurs universitaires
américains et c'est l'un d'eux qui m'aura encouragé à persévérer en cette vue
de l'esprit !
Élémentaire,
mon cher Nicolas ! … et Nicolas, aussi le savait-il ?! C'est du moins (et mieux
qu'une hypothèse!), ce que l'on apprend aujourd'hui en certaines universités
Californiennes ! … Sans de méchants ragots à la clef !
Nicolas
Poussin aura très précisément suggéré sur son tableau, cette
élémentaire marche à suivre !
Mais au
départ, au siècle dernier, je ne le savais pas non plus, et le jour où j'ai découvert cela, démonstration en poche, un
vrai malaise me prit car j'avais saisi que je venais de poser le doigt sur une
clef vertigineuse ! … et j’en eu un vertige
(authentique !), puis je plaçais mon cahier de brouillon avec la (ferme)
intention de ne jamais plus l'ouvrir /// j'avais peur ! Jusqu'où allait le
maître Poussin ? Car il avait manifestement la clef aussi du report
(facile !) de ses Bergers sur le terrain ! Ce que j'avais déjà presque
compris aussi ! Bref.
Je le
rouvrais (car ce genre de vœux sont vains !), tout de même un mois après, la trouille au ventre car
j'avais de surcroît trop peur de m'être trompé en mes calculs et
projections ! … peur rajoutée au trac d'être incompris si j'en parlais
(à raison)…
Je suis toujours
incompris et n'en parle pas.
C'est
ainsi, je ne dis jamais tout et pense que quelqu'un qui comprendra spontanément
ma pensée va tout aussi rapidement me l'avouer … quel naïf suis-je, c'est le
contraire exact qui se passe, ils ne me disent rien, m'empruntent quelques
idées, les remaquillent et avancent en douce à ma place !
Finalement
c'est très bien comme ça ! Pas de quoi en faire toute une
parano étant donné que je conserve une bonne avance, mais risque de mourir
avec ! Voilà ...
Voici
donc comment le mètre mesure eut pu, non pas s'inventer, (quoique ? … ?) mais seulement se théoriser par rapport au cercle et au
nombre abstrait Pi ! … Avec
la valeur reportée de la Coudée Royale sur les 6 arcs définis … Coudée royale contenant des liens avec Phi …
« Top
important », me fait Flo !
C'est
ainsi que chez Poussin cette sorte de cercle existe bel et bien précisément crypté à partir de la réduction 1/2 du cercle suggéré par le diamètre bâton-méridienne
subtilement coupé en deux parties égales, du supposé berger rouge marquant par son bras le centre (bâton valant 47, 069 cm sur tableau) = la valeur diagonale officielle du tableau rectangulaire / par Pi (C'est la première clef), et qu'il faut redresser de 5° afin de l'orienter
Nord-Sud tel que vous pratiquez avec vos cartes que vous réorientez avec la
boussole !) ? Simple et évident ! La meilleure des cachettes !
Avec Poussin il faut toujours penser cercle et théorème de Pythagore, oublier
les faux amis nommés pentagones, lesquels vrais ou supposés ne sont là
que pour nous enseigner ou rappeler par contre à de vrais amis, les triangles d'Or ! … qu'ils contiennent !
Bref (encore)
!
Photo : nicolas-poussin-les-bergers-darcadieJMV260915 (et S. Peron)
Tout cela
est très facile, suffit de connaître le vieux théorème dit de Pythagore
et qu'il en est encore plus aisé d'en saisir la correspondance sur le terrain ! … élémentaire mon cher
Nicolas ! … et se prouve allègrement … alors … ? … mais il faut un peu
bosser et animer sa matière grise et savoir se remettre en question en faisant abstraction de
ses vieilles croyances (voilà bien le plus dur et même l’impensable pour la plupart des chercheurs,
même nouveaux !) … donc statu quo, n'en parlons plus, vaut mieux pour la
paix !
Cercles
très précisément suggérés par Poussin en ses Bergers d'Arcadie et confirmés
par Boudet page 225 ... mais en revanche, les plus intéressants triangles
d'or nous seront mieux que suggérés, car pointés sur nos deux tableaux
''Téniers vedettes'' par la vivante langue des oiseaux ! Nous verrons ce que c'est
que la langue vivante des oiseaux !
« Que Poussin, Téniers gardent la clef ... », aura
écrit l'étonnant marquis de Chérisey (qui ne travaillait pas si seul que ça ! …
et … sans doute, fort heureusement pour lui et nous!)
Ne
perdons pas des yeux les oiseaux de nos deux Téniers !
Nous en
reparleront plus en détail lors du chapitre suivant.
Avant
d'aller plus loin j'aimerais vous remettre en mémoire ce texte un peu fou-fou
du marquis de Chérisey qui semblerait avoir été pondu en écriture quasi
automatique comme à la grande époque dadaïste et surréalistes, qu'a bien connu
un Gérard de Sède, le plus lucide des ''droitistes gauchos''
(l'expression est de Flo!) sur un coin de table de bistrot entre le fromage et
la pomme, et qui tenterait de nous éclairer (ou plutôt de nous larguer en même temps, me souffle mon
malicieux Flo, qui ne manque pas de jugeote), sur le sujet brûlant qui est le nôtre.
Qu'est-ce
que ce DAEMON, et plus particulièrement, ce DAEMON DE GARDIEN et qu'il nous
faut achever à MIDI ?
Le ''démon
de midi'' est un mal bien connu qui tourmente la gente masculine d'âge
quasi mûr. C'est en langue vulgaire (la meilleure des langues !),
''le retour de flamme'', comme on disait sous les chaumières couvertes
de pailles des landes de serpentine du haut Limousin (expression de Flo !)
Et notre
Antoine eut-il été tenté par l’effet de ce phénomène dont nul mâle n’échappe …
(à part les saints ? … mais cela reste à prouver !).
Témoins
le second tableau et que vous connaissez tous parfaitement, et pour cause, mais
que je n'ai pillé à personne puisqu'on nous l'a donné !, et lequel
est bien loin d'être une tentation classique, mais qui avec cet
obscur et violent daémon du Midi (surveillé par son mystérieux gardien),
pourrait bien être un des maux insidieux venus pour ''faire craquer'' ce
pauvre diable d'ermite Antoine, comme se complaît à prétendre
Flo !? … Donc une vraie tentation, comme nous verrons.
Teniers, le Jeune: "Les Sept Péchés
Capitaux" au Prado de Madrid
Ce
dernier tableau fut sauvé de l'oubli par monsieur Didier René Louis Héricart,
vicomte de Thury, hélas aujourd'hui décédé, le dernier descendant
(et sans enfants … en aura-t-il adopté un ou deux en douce ...?) d'une
prestigieuse et pluriséculaire lignée, et qui aura exhumé ce tableau des
réserves du musée du Prado à Madrid car il n'est pas du tout prouvé qu'il
fut exposé sur les cimaises d'honneur du grand musée, d'où sans doute son état
parfait de conservation, ainsi il n'aura pas souffert et de plus est, comme
vous le saviez, il est peint sur cuivre !
On nous
rapporta brutalement que cette soit disant '' à la fois vraie mais
soit disant fausse tentation de saint Antoine'' par Téniers David le jeune ne se
nommait plus ''une tentation de Saint
Antoine'', mais « Les sept péchés
capitaux ».
Voilà
qui était très nouveau, ma foi et tellement incroyable !
Serait-ce
bien du Vicomte que proviendrait cet étrange caprice ? Hum ?
Soit, et
de cela nous en discuterons plus tard, à l'heure venue, mais toutefois, on
n'aura jamais suffisamment remercié monsieur le Vicomte pour cette très heureuse
découverte, et lequel nous fit l'ineffable grâce de n'y pas tout
comprendre, d'une part, et de l'autre, de nous en avoir fait distribuer
par le Net une excellente photo bien pixélisée nous ayant permis de
l'analyser à loisir en détail et nous ne nous sommes pas privés d'en
profiter au max !
Sur ce
tableau, siège Antoine abbé, devant ce qui lui sert de bureau et d'autel pour
la messe journalière. Aujourd'hui il se trouve particulièrement et lourdement
accompagné … avec de drôles de paroissiens appartenant aux
fantasmagories traditionnelles flamandes !
Hé là, à
ce niveau, la tentation est en effet semblerait dépassée chez tous ces folles caricatures, et il y a longtemps
qu'ils ont succombé à leurs propres tentations et qu'ils sont devenus esclaves de leurs passions additives et
de leurs vices, des naufragés, non pas par la vieillesse (!), mais tous
condamnés par l’Église et au nom de Dieu, pour s'être rendu coupables d'avoir
cédé aux infinies tentations des sept, mais exponentiellement développés par
leur incurie, péchés dits capitaux. (Ceci dit par Flo sans même reprendre sa respiration !)
Bravo, Flo !
Mais si
un daémon s'est introduit, il faut se souvenir (sans rire) qu'Antoine
par contre, est un ''malin'' (un matou matois) et qu'il s'en
tirera forcément ! … rien qu'en constatant le style par trop appuyé du ''poète
de bonne famille'', je fus moi-même troublé, certes, puis rassuré sur ce
point … avant de réagir !
Le tableau que nous avons précédemment
et (déjà) globalement décrit, se rapporte à la première partie du message soit
disant décodé, de 64 lettres contenant dans le premier
échiquier, soit :
BERGÈRE
PAS DE TENTATION QUE POUSSIN
TÉNIERS GARDENT LA CLEF
PAX DCLXXXI PAR
Le second
tableau qui sera analysé au chapitre suivant, celui de monsieur le vicomte, coïncide sur le plan symbolique
et numérique avec la seconde partie du message, de 64 lettres, second échiquier, soit :
LA
CROIX ET CE CHEVAL DE DIEU J’ACHÈVE CE DAEMON DE
GARDIEN À MIDI POMMES BLEUES.
(j'ai
écrit en blanc les termes qu'on retrouve dans le long texte fou,fou, du
poète de bonne famille !)
Alors
qu’est ce long texte (explicatif (?) du Marquis (Marquis, Marquise,
Vicomte … la crème, me souffle Flo !), un manuscrit écrit au stylo
ordinaire, tout y est normal avec le style surréaliste du poète, et sans l'ombre de ponctuation, enchaînant volontairement les
phrases sur le souffle initial comme psalmodiaient jadis les rhapsodes
grecs, tel Homère l'aveugle !
C'est
''génial'' ! … ne sait que répéter mon énervant et jeune snobinard de
salons, qu'est Flo.
Le poète judicieusement signale l'existence de Pan
en Arcadie, car Pan est aussi chez lui en Arcadie au même titre qu' Hermès, Artémis et Apollon, tous natifs d'Arcadie (avec
leur serviteur Héraclès idem présent sur le tableau des faux Bergers … d'ARCADIE, (la
vraie !), Pan, la grande divinité invisible des Bergers d'ARCADIE
du Poussin …
Pan est là,
comme Dieu, ou le diable, transparent et insaisissable et se trouve n'être que
le quatrième dieu invité au colloque des Dieux Arcadiens que représente le tableau des soit
disant bergers (d'opéra baroque), Pan l'immatériel, car Héraclès présent idem
dans le tableau est accroupi (en génuflexion comme Asmodée du bénitier de l'église,
cité par le marquis de Chérisey) tel qu'un
classique ''héros'', certes, reconnu digne par les Dieux de fréquenter le Parnasse, mais seulement qu'en demi-teinte, malgré tout !
Ce
fameux texte, je l'ai scrupuleusement recopié en majuscules.
Il a au
moins la vertu de nous recentrer en l'esprit du décodage (ultra bidouillé) de
la stèle de la marquise de Blanchefort.
C'est un
document original, un authentique manuscrit identifiable et identifié, qui m'a
été expédié pour réveiller ma mémoire bordélique par la chercheuse Andrée P., document portant un
authentique cryptage numérisé, allusion à quelques grandes vérités gardées
par Poussin et Téniers David le Jeune, concernant notre Razès, toujours
(bien entendu !), vérités consubstantiellement manipulées, mais …
cependant toujours non fausses, c'est l'essentiel !!!
Un
exercice funambulesque de poète humoriste (du second, et du troisième
degré !).
Extrait
de ''Pierre et papier'' de Jean-Luc Chaumeil qui dénonça bien des
fumisteries mais fut d'un autre côté bien trop indulgent envers les
siennes (bien perso ou collectivement vécues) et qui n'avait pas encore
tout compris de la faconde du ''poète'' de Chérisey !
« LES VISITEURS DE RENNES LE CHÂTEAU ET LES LECTEURS DE
GÉRARD DE SÈDE CONNAISSENT BIEN CE DAEMON DE GARDIEN POUR ÊTRE LA STATUE DU DIABLE DU BÉNITIER QUI SE TROUVE À
L’INTÉRIEUR DE L’ÉGLISE LA GÉNUFLEXION BIZARRE QU’IL FAIT A PERMIS DE L'IDENTIFIER
LE DIABLE BOITEUX C'EST A DIRE ASMODÉE DAEMON DE LA LUXURE DAEMON DE MIDI ASMODÉE EST CETTE PUISSANCE ADVERSE QUE L'HOMME TROUVE QUAND IL
ARRIVE A SA MATURITÉ AU MILIEU DU CHEMIN DE SA VIE ENTRE ASMODÉE
ET LE DIEU PAN DES ARCADIENS IL Y A PLUS QU'UN RAPPORT DE LUBRICITÉ MAIS LA
NÉCESSITÉ DE GARDER LE SILENCE QUAND VIENT MIDI SOUS PEINE
D’ÊTRE FOUDROYÉ SEULS ONT LE DROIT DE
S'EXPRIMER CEUX QUI ONT ACHEVÉ LE DAEMON
DE GARDIEN A MIDI ET SE VOIENT SUR LE DÉVERSANT DE LEUR ÂGE LES AUTRES N'AYANT DU CHEVAL QU'UN CARACTÈRE ''HIPPIE''
PEUVENT S'EXPRIMER SEULEMENT PAR UN PATHÉTIQUE DONT LA SIGNIFICATION DEMEURE À L’INTÉRIEUR DE LEUR
VENTRE EN GERME D’ESPÉRANCE POUR ACHEVER CE DAEMON DE GARDIEN A MIDI IL FAUT TROUVER LE BON MOMENT ENTRE LA JEUNESSE QUI NE SAIT PAS
ENCORE MAIS QUI PEUT ET LA VIEILLESSE QUI NE PEUT PLUS MAIS QUI SAIT UNE
TELLE VIGILANCE N'EST QU'À LA PORTÉE DES POÈTES »
Est-ce
clair ? Non ...
Prenez
votre temps, dégustez.
218 mots.
881 lettres : 8 + 8 + 1 = 17 (Une des clefs basiques et
universelles ? … Peut-être ? ) … et 881 est le nombre premier
n° 424 … le numéro d'ordre du nombre premier se réduit à 1 ! (rigolo)
Maintenant,
revenons un instant à la douce surprise cryptée par Téniers David le jeune en
notre tableau précédant. Un ermite médite à l'entrée d'une grotte.
Tableau
triangulé ! …
Tableau
(photo thumbnail, tracé par Adela)
Qui
l'avait vu venir ce triangle ?
Remarquez
la précision de Téniers !
Pas un
fumiste !
Il
indique la naissance et la direction de la longue ligne ascendante
(l'hypoténuse) par son personnage : voir l'index de la main gauche d'Antoine pointé
sur le bord du livre. Impressionnant … et c'est là que ça commence, nous
dit-il !
Ensuite
le peintre marque le passage de la ligne par l'angle obtus du vol d'oiseaux, là
où nous avons mis un point noir, et qui est de surcroît le milieu exact de
la ligne hypoténuse s'achevant sur le ventre du gros oiseau !
Parfait !
Par
contre il fallait bien ménager une incertitude au niveau de l'angle
droit : aucun point de repère !
Mais
Téniers comptait sur la sagacité toute professionnelle de ses meilleurs
décrypteurs, car la seule solution est un triangle TGO, le triangle rectangle
le plus chargé de valeurs géométriques et ésotériques et dont on connaît la
formule d'or et les valeurs d'angles aigus dès qu'on on se mêle de géométrie
dorée : 38,17° et 51, 83° ! Facile de s'en sortir par
l'arithmétique !
Le plus génial de la composition cachée est bien la bissectrice
de l'angle droit (45 et 45 degrés) qui (à l'instar d'un très fin codage analogue sur IGN),
part indiquer un point d'une richesse incomparable, sa seule raison d'être, et
ici, en occurrence, donne sur la tête de la bergère ici réduite sur le tableau à un minuscule rond blanc ! …et quel sublime symbole
justifiant à lui seul la présence de ce triangle. CQFD.
Très
judicieusement professionnel, de la part du codeur en géométrie ! Chapeau,
monsieur Téniers David le Jeune !
Remarque : Le livre ouvert d'Antoine, lui-même possède ce
faux air de grand oiseau … dont les pages sont les multiples ailes, une
idée surréaliste qui fut reprise à l'excellente TV ''de papa'', pour une belle
émission littéraire de la grande époque ! … souvenez-vous !
Le livre ailé de l'oiseau paginé !
L'espace d'un poème ...
Alors, vive la poésie ! …
… mais sans plus tergiverser, et sans vouloir vous bousculer,
passons dans le réalisme, combien mesure sur l'original cette ligne partant du haut
de la bordure cartonnée lu livre saint et montant au vrai gros
oiseau ?
Eh bien,
sur l'original du tableau du musée des Beaux-Arts de Valencienne, aucun
problème puisque c'est plus que vérifié et contre vérifié, pensez donc, sur une
photo des musées de France, grandeur nature, c'est du
gâteau =~ 26, 60 cm (plus exactement = 26, 62 cm à la loupe) …
oui ? Et alors, me fait Flo … ???
Eh bien, Flo, si nous calculons d'un coup de calculette grâce à mes
raccourcis arithmétiques personnels les valeurs des deux autres côtés d'un
hypothétique triangle géométrique d'or (TGO) dont je donne la recette
plus avant, nous obtenons :
Base = 16, 45241 et hauteur = 20, 92767 et hypoténuse = 26, 62 ...
Total = 64 cm!
Hé ?!
… est ce bien 64 ???
Hé oui, c'est indubitablement 64 cm !
La valeur du périmètre est identique au nombre de
lettres entrant en chaque échiquier !!! Pas possible ! Bingo ? Super !
Voilà
qui est fameux !
Fantastique !
(première surprise)
Mais ce
n'est pas tout, hé non, ce n'est pas tout ! … s’excite Flo ! Ce
n'est que le départ d'un long décryptage débouchant sur un vrai décodage !
Premier
échiquier : 64 lettres.
BERGÈRE PAS
DE TENTATION QUE
POUSSIN TÉNIERS GARDENT LA CLEF PAX
DCLXXXI PAR
Quel est
le mot le plus important ?
Pour moi
c'est CLEF ! C'est la clef que nous cherchons … et le mot CLEF se
trouve à trois lettres (PAX) du fameux et intrigant DCLXXXI = 681.
64 lettres. Triangulation TGO (Triangle Géométrique d'Or ) du 64 ?
Nous venons
de la faire : soit en arrondissant au plus simple au demi-point
supérieur ou inférieur :
20, 92 (soit 21) 26, 62 (soit 26, 5) et 16,45 (soit 16, 50)
Qu’observons-nous ?
… que le texte est idem triangulable TGO !!! Re Bingo !
BERGÈRE
PAS DE TENTATION (la hauteur) = 21 lettres ! Bingo ! Ça colle !
QUE
POUSSIN TÉNIERS GARDENT LA ¢LEF (l’hypoténuse) = 26, 5 lettres !?
Voilà
qui est bien intéressant, le C de ¢LEF se trouve coupé en deux sur le
second décompte du découpage du texte !
Imperfection ?
Non
pas !
C'est au
contraire la perfection même !
N’oublions
pas que tout est codé, découpé et crypté au demi poil et que nous cherchons
avec obstination la CLEF et ''clef '' est justement le mot à solliciter principalement car il n'est pas
neutre et qu'il nous donnera tout ... car nous savons au moins qu'en ce système
il est dit que la ȼLEF est gardée (et partagée !) par Poussin et Téniers ! Dont acte !
Pour
l'instant simple clin d’œil à retenir, mais lequel signal nous en dira plus un
jour ? Oui, bien entendu !
Achevons
pour l'instant.
¢LEF PAX DCLXXXI PAR (PAR la
base du triangle… ! … (par) la clef numérique) = 16, 5 lettres !?
BERGÈRE PAS DE
TENTATION
QUE POUSSIN TÉNIERS GARDENT
LA
ȻLEF PAX DCLXXXI PAR
Confirmation
effectuée, nous retombons très exactement sur nos pattes avec la
charnière C commune à l’hypoténuse et à la base ! OK ?
Cela
baigne dans l'huile. 21 + 26, 5 + 16, 5 = 64 … et la clef est partagée par ... (au fait, vous aviez remarqué que le mot ''par'' curieusement intégré
demeure comme en suspension dans le premier message) ????
Et que signifie ce nombre romain DCLXXXI en PAX DCLXXXI ?
On en a dit des choses, des bonnes et
des pas mûres sur ce nombre !
Mais ce que personne n'a encore dit,
c'est qu'il est sans doute le principal argument pour qui imagine un code, désolé
de vous bousculer encore une fois …
Par
exemple, qui a eu la curiosité de faire le décompte basique et alphabétique
de la phrase Bergère pas de tentation etc. à midi pomme bleues ?
Alors ceux qui l'ont fait se sont
aperçus de cette coïncidence merveilleuse qui ne doit rien au hasard :
DCLXXXI = 681 !
OK ! Nous le savions … oui, mais attention, quand vous faites le décompte
alphabétique du texte aux trente mots : Bergère ...pommes bleues
(a = 1, b = 2, c = 3, etc. …) conçu pour cela par de Chérisey qui pour bouler plus vite a
oublié la ponctuation, comme en son long texte, alors qu'Alain Féral (le poète
à la Rose!) s'était amusé à inventer une ponctuation fictive, afin de mieux
balader encore une fois de plus les chercheurs ? Alors ? … d'une façon ou d'une autre ... qu'importe … ?
… la bonne question finalement la voici :
… où tombe le
total alphabétique de valeur 681 ?
Eh bien, notre
décompte 681 tombe comme par hasard très exactement
sur le nombre Romain DCLXXXI le mot nombre,
n° 12 qui était là, bien garé comme pour
n'attendre que lui-même transposé en chiffres dits arabes, soit 681 … !
Cela vous laisse
froid ?
Plus précisément il passe sur le second
X du nombre DCLXXXI (X = 10) (et valeur
alpha de X = 24 et donc 3 X 24 = 72 que nous
retrouverons sur les angles de base du grand triangle d'or dit ''sublime'' au
tableau prochain.)
Il y a bien des raisons à cela !?
Cette phrase soit disant abracadabrantesque
n'a pas été construite n'importe comment le nez au vent et une avalanche
de signes numériques ne peut être inventé seulement par le saut du cavalier aux
échecs !
Car ce n'est pas fini ! Voilà le
plus surprenant :
Le total des valeurs alpha des128
lettres (64 x 2) est de
1 300 un nombre
rond, et son milieu, le 650 passe sur le premier X de DCLXXXI
On continue, où passe le point d'Or du total 1
300, à + 803, 46 ?
Il
passe sur un X, mais ce coup-ci sur le X du mot croix (sur la croix du mot croix de LA CROIX)…
Trois fois les X seront
sollicités, car la valeur alpha X = 24 et 24 x 3 = 72, le second
72 ! Nous allons retrouver comme promis, toute la valeur ajoutée du 72
au prochain chapitre avec le triangle sublime aux angles de 72°! On
rêve ?
Non, et le
meilleur reste à dire, voici donc venir la troisième lettre (la +
importante ?) :
L'inverse du nombre d'or qui est 1 / 1,
618 =
0,
618 existe aussi en ses multiples : 618 (1/ Phi x 1000
= 618 !).
Le décompte 618 (un des
nombres dits d'Or et dont Poussin s'est beaucoup servi !!!) passe
(tenez-vous bien), sur l'amorce du nombre romain, c'est à dire sur le D de DCLXXXI toujours
''mot nombre'' n° 12.
Et (D en nombre
romain, c'est = 500) !!!
Oui, et alors ?
Ce ne serait rien si le
nombre 500, par ailleurs et non par hasard, n'ouvrait pas
une perspective radieuse sur la Géométrie d'Or des triangles
rectangles géométriques d'Or !!!
Touchons-nous déjà à la clef ?
En effet, avec le 500 et ses multiples,
débute la série, des Triangles Rectangles Géométriques d'or (TGO) aux trois nombres
entiers, soit un TGO de base 500, ou 1000, ou 1500, ou 2000 etc. à l'infini …,
ce sont les perles des triangles rectangles d'or et nommés par moi par trois lettres : TGO !
Une base de 500 donne : 500 + 636 + 809 qui est de
surcroît ''le premier et le plus petit'' des TGO aux nombres entiers, de
l'univers !
Les triangles d'or aux trois nombres
entiers sont de véritables bijoux.
OK ? Un petit miracle, oui, car il
n'y a qu'avec les multiples de 500 qu'on obtient des nombres entiers en procédant à la triangulature TGO
(triangle géométrique d'or) …
Certains (arithméticiens?)
ne s'en étaient pas même aperçus, car ils ignoraient la clef pratique et rapide
permettant de les ouvrir ?
Bof ...
Mais on était allé
jusqu'à dire que les triangles TGO à trois nombres entiers ne devaient
théoriquement jamais exister étant donné que Phi est un nombre irrationnel,
donc tout produit avec un nombre irrationnel recrée un autre nombre
irrationnel ! OK, mais, il existe un palliatif acceptable par les
arithméticiens, afin de crypter et coder.
Ben si ! ...
En vérité, ces arithméticiens avaient
tous relativement tord et moi, le plus minus, relativement
raison (ou l'inverse ?) !
Démonstration !
Formule réduite du TGO avec 1
pour base en nous servant des valeurs communément utilisées de Phi, soit
1, 618 et de la racine carrée de Phi, soit 1, 272 (chacun
possédant 3 décimales !!!):
1 + 1, 272
(= √ Phi) + 1, 618 (= Phi)
= 3, 89
3, 89 est ma clef
perso numérique du TGO, à condition de travailler avec les trois
premières décimales de Phi et les trois premières décimales de la racine carrée
de Phi … ben voila ! … la feinte du cancre
bordélique et soit disant vieux et gaga !!!
Ne cherchez pas ailleurs, c'est moi qui
l'ai inventée cette clef il y a pas mal d'années, tellement pratique, mais
jamais je ne l'aie déposée … je ne suis
pas certain que nul n'y ai pensé avant,
mais ce détail dont j'avais déjà fait la promo en maints articles semble
être passé totalement inaperçu … (hum … ?, non pas !) puisque
personne n'avait relevé la nouveauté … tu parles, on me l'a piquée vite fait la
formule, et c'est encore moi qui va bientôt passer pour un grugeur pilleur,
comme d'habitude, chez les zozos de service, toujours là, mais que pour
nous emprunter un max ! Je ris … (Jaune … comme l’or)
Exemple : soit un nombre
quelconque qui n'est pas pour autant pris au hasard, vous m'avez compris :
1945 / 3, 89
=
500
500 x 1, 272 (= √ Phi) = 636
500 X Phi (1, 618) = 809
Total = 1945 (retenez bien ce nombre bien rond
que nous venons de traiter en triangulature TGO !)
1945 est une grande clef parmi celles que tenait Poussin !
Et le marquis de Chérisey ne me démentira pas … (même
virtuellement) !… et j'en connais d'autres qui ne devraient pas me
contredire sans risquer en devenir ridicules, quoiqu'ils le feront quand même
… au point où ils en sont !
500 x 3, 89 = 1945
Et ce est-ce par hasard que Don Neroman aurait tenu à publier
son très célèbre livre sur le nombre d'Or en l'an de grâce 1945, ou alors aura-t-il
seulement attendu placidement la fin de la guerre ? (question accessoire
de FLO !)… bof ?
Bref, à la limite, on s'en f…., nous n'avons que faire de ce genre d'arguments limite
nunuches.
Nous
avons tellement mieux !
Et je vais
pour achever de vous ennuyer en vous faire part du tout début (seulement car des yeux
ennemis, mais impuissants, nous espionnent, je ne blague pas !) d'un amusant mais authentique
codage (inconnu?) de Philippe de Chérisey (lequel m'a sauté aux yeux et
aux neurones soit disant sinistrés par la vieillesse, comme disent les
terroristes du Net … tu parles, elle est encore très bonne celle-là … et
quand je me goure, j'ai au moins la politesse de corriger !), à partir de son
fameux texte si fou, fou, et du faux aboutissement du toujours très douteux
décodage de la stèle de la Marquise ! Donc, merci encore à Andrée de
m'avoir rajeuni la mémoire et à l'excellente Adela qui a la vertu de me
supporter !
En ce cas typiquement De Chériseyen, notre fantaisiste favori aura pris et c'est très malin de sa
part, pour bon support un autre codage bien pépère mais existant, puisque de
son aîné l'abbé Henri Boudet (on nomme cela en jardinerie une
greffe … ou un marcottage) mais c'est permis quand c'est positif et
c'est je pense le cas ! ... et que j'avais redécouvert sans l'ajout De
Chériseyen, bien entendu, depuis tant d'années de Boudétisme forcené ! … et
certains peuvent en témoigner !
Il, le
marquis, a donc décalqué ses chiffres préparés et bien huilés à l'avance en son
texte faussement spontané sur la page 292 du livre d’Henri
Boudet, là où deux grands esprits (soit disant délirants ?) vont
enfin se rencontrer, mais cette fois pour le meilleur, et c'est tant mieux !
Cette
démonstration prouverait qu'il vaudrait mieux prendre les chiffres révélés par
notre fantaisiste de marquis, très au sérieux au lieu de ricaner ! ( je
m'adresse aux oreilles ennemies, comme aux autres). Bien, c'est dit.
Le texte
fou contient 881 lettres pour 218 mots
Moyenne
des lettres par mot : 4, 04
Le texte
court, tout aussi fou que le long, Bergère pas de tentation, que nous
avons commencé à décoder (ce sont des sous codes à plusieurs degrés, à
étages et paliers et avec ascenseurs, comme dit Flo !) ! … ce que
n'avait pas encore compris tout le monde! … contient 30 mots pour 128 lettres.
Moyenne
des lettres par mot = 4, 26 (assez peu de variante avec 4, 04 précédent)
881 se réduit au nombre clef, l'inévitable : 17, je l'avais déjà signalé.
Et en
allant au plus simple pour agacer les intellos qui se marrent, voici : 17 (4, 04 x 4, 26) = 292, 5 7 6 8
Code
numérisé élémentaire à la Boudet : composé d'une série de trois chiffes, +
trois autres chiffes + un chiffre = 7 chiffres (7, le chiffre de Dieu ?).
Il en a fait
comme cela plusieurs, l'abbé Boudet, sur le même modèle ou avec si peu de
variantes !
Page 292 (nombre palindrome), donc,
compter (pour aller au + vite) : 5 + 7 + 6 =18 lignes, puis après voyons le 8 restant qui est le chiffre des mots
à compter encore, donc 8 mots complémentaires … et enfin … lire. Pas sorcier.
Page,
lignes et mots, voici l'ordre Boudétien.
On compte
8 mots et on tombe sur FOUCILHE. Premier (très) beau
résultat !
Foucilhe, est le territoire du lieu-dit
sur lequel se trouve le centre du cercle théorique et pratique de Boudet, de
son très faux cromleck, mais vrai cercle (centre : le miroir géologique de
Foucilhe !) et ce qui se démontre ultra facilement grâce aux
renseignements kilométriques fort précis et astucieux page 225, le n° 2 du chapitre 7 intitulé
« Le Cromleck de Rennes les Bains ». Suffit de bien lire et de
comprendre les faciles cryptages de cette page ! Qui avait aussi compris,
ça … ? … je les connais et ils se taisent, les vieux renards !
Foucilhe est également une grande clef topographique que tenait
Poussin !
Évidemment,
mais ce n'est pas tout.
Maintenant,
flânons.
Revenons à 5 + 7 = 12.
12 est le symbole de ''la''
méridienne utile.
Le
lieu-dit marqué Foucilhe sur carte IGN et des frères
Boudet, est bien situé contre la méridienne Rose Ligne de l'église de
Serres ! (voir IGN, carte Boudet et terrain).
Précède
immédiatement à cette ligne n° 12, ce mot extraordinaire : GLEISOLE.
Le gros morceau !
Analyse
stupéfiante de Boudet page 292 : (GLEISOLE , - CLAY (clé), argile, - to ease (ize), délivrer, - hall, maison
- !
Donc, CLÉ ISOLE avec un C !!!!!, qu'on se le dise, en
place du G ! C'est du pur
Boudet, pas de fautes du typo ! Le C est légitimé par l'indication
de la phonétique : clé … est ce clair, il n'y a pas d'erreur !
L'abbé
Boudet qui n'y va pas avec le dos de la cuiller, nous ISOLE tout de
suite la CLÉ (cléisole) quand il
prononce pour
GLAY = CLAY (CLÉ).
CLÉ ISOLE !
OK, bien
clair ! Boudet est logique jusqu'aux limites de l'absurde (donc génial) puisque
en écrivant ''Glay isole''...il nous suggère en un premier temps la glayse,
la glaise, la terre glaiseuse avec laquelle autrefois on bâtissait
toutes les maisons (liant nommé le tuf et glaise fine pour la confection des
tuiles) … la maison (hall) de glaise construite, et de la même glaise dont on
préparait justement les empreintes des CLEFS de la maison pour les
reproduire une fois la glaise durcie …
etc, etc … Clay (clé), argile (phonétique : à R, git le
…) le ? Pas terminé ?! … allez y, achevez !
Le plus
beau c'est que Boudet en cette page nous crypte en acrostiche (en tape) le nom
d'un grand savant : ARAGO puis CARTE, TEMPLE,
ROND, CENTRE, AVEN. OK ? C'est du gâteau !
Détails d'une carte d'origine inconnue (pré tracé méridienne rose ligne et méridien Paris, doc J.M. Lièvre)
Là aussi
il y a à voir au niveau des lettres de ces sympatriques nom et mots
apparaissant en marge !
Le Marquis ne nous a pas dérangés pour rien.
Mais
combien avaient remarqué ce jeu de clefs ? A mon avis, avant d'inventer,
vaudrait mieux commencer à répertorier tout ce qui est quasiment dit en clair,
comme le Marquis nous en donne l'exemple.(Méfions-nous de ce genre de
fantaisistes quand ils sont doués d'intelligence subtile et de connaissances)
Je stoppe
ici l'analyse (qui va par contre très loin), parce que la suite du décodage
trop convainquant mérite un bon top secret, et il y a des choses qu'on
ne peut pas divulguer comme ça en clair à certains individus aux aguets se
prenant pour les champions des décodages bidons et indémontrables, lesquels de
ce fait ne méritent pas de telles subtiles gâteries, pas même notre
considération, même si on n'est pas méchants ! La liberté d'expression,
surtout pour certaines vérités objectives, n'existe pas sur la Colline.
« Ce qu'il y a de complètement nul chez Villette, c'est
qu'on n'y comprend rien et qu'on
ne sait jamais où il va ! » me dit un
jour le plus sinistre terroriste du Net !
J'ai
répondu :
« Ouf !
Et encore heureux !… voilà bien le compliment le plus rassurant
qu'un abruti comme toi puisse me faire ! »
Quoi
qu'il en soit, je ne partagerai la fin de l'analyse de la clef 1945 que
très confidentiellement avec quelques amis (es) intelligents (tes) et sans
failles ! C'est trop important … comme dit Flo !
Avant de nous quitter provisoirement
car l'analyse est encore loin d'être bouclée, nous reste le grand
tableau à analyser, à moins que le ciel Gaulois nous tombe une fois de plus
sur la tête au risques et périls d'apprentis sorciers du pire et de
l'incorrigibilité manifeste, je vais vous raconter une mini blaguounette, sans
aucune prétention ni mauvais esprit, pensez donc ...
Écoute, écoute ! … C'est un touriste
français lambda qui sort du bus et arrive au Prado, le grand musée du cœur de
Madrid, et qui va demander à l’accueil à voir le tableau intitulé « Les
sept péchés capitaux » …
Bien entendu, l'employé zélé lui
indique le chemin à suivre en lui montrant le plan.
Notre touriste tout content fonce, y
demeure un moment et le revoici revenu à moitié déçu, à moitié ravi, à
l'accueil et en remerciant bien l'homme il insiste de nouveau :
« Je veux voir ''Les Sept
péchés capitaux'', non pas de Jérôme Boch, [aussi appelé" Le Chariot de
Foin" voir image au Prado en HD, Le Bosco qui fut très amant Aux
Tentation de Saint Antoine. Adela ] mais de Téniers David le Jeune !
...s'il vous plaît … »
L'autre, gentiment sourit avec
indulgence car il est habitué à ce coup-là, et lui fait remarquer que jamais
aucun peintre du clan des Téniers n'aura peint de tableau ainsi titré !
Jamais, jamais, jamais !
Le grand génie Jérôme Boch l'aura fait,
cependant, et c'est cette œuvre que notre touriste français aura admirée !
Déjà pas si mal !
Ha, bon … ? … Je croyais cependant
que … etc … bredouille confus le voyageur français … qui cherche à comprendre …
et qui ne
comprend pas … (… pas encore … ?)
Une énigme de plus ? Mais non et
l'employé ne disait que la claire vérité ! Le titre du grand Téniers
rebaptisé « les sept péchés capitaux » n'est qu'une invention, qu'un trop
facile et plus que discutable caprice !
A suivre pour les révélations !
Je conseillerais aux touristes
potentiels de bien lire la suite prochaine, sur le site si sympathique, bien
fourni et tellement généreux d'Adela, ou ailleurs encore sur
l’excellente Gazette où (sauf exceptionnelles violations ... !) nul en ces
lieux ne jalouse ni ne méprise l'autre malgré d'irresponsables et rubéfiants
ragots se répercutant sur la drôle de colline.
Téniers David détail tentation Agen
musées Bxarts 444
A suivre. (Jean-Marie
Villette, Février-Mars 2018)